Le titre de cet article est prometteur n’est ce pas ? Pourtant il y a deux ans, je n’aurais jamais écrit ces mots. Parce qu’il y a deux ans le sport faisait partie de ces activités que je n’aimais pas, et que je faisais mine de mépriser tout simplement parce que n’arrivais pas à m’y mettre et que c’était beaucoup plus simple de rester dans mon canapé en râlant. Vous êtes en train de vous demander où vous êtes tombée? Pourquoi vous devriez lire un article sur la motivation au sport sur mon blog après cette entrée en matière peu reluisante? Laissez moi vous expliquer…
Petite précision: tout ce que j’ai écrit dans cet article correspond à ma manière voir les choses, qui ne sera surement pas celle de tout le monde. Je ne prétends pas en faire une vérité universelle, d’ailleurs je ne suis ni coach sportif ni nutritionniste. Je suis juste une femme qui a une expérience et des convictions et je souhaitais vraiment vous partager tout ça parce qu’adopter cette vision à réellement changé des choses dans ma vie et cela m’a fait progresser. Si vous êtes sceptique à la lecture de cet article, dites vous que je l’aurais été aussi avant de me mettre au sport !
Mon histoire avec le sport remonte au collège, où je me suis mise à le détester. C’est vrai que l’on ne m’avait jamais vraiment appris les bienfaits du sport, et je vous avoue que Roger, Didier et Gérard, mes profs de sport cumulant vieux jogging, baskets sales, bide à bière et haleine douteuse ne me donnaient pas envie de m’y mettre (les prénoms ont été changés parce que je ne m’en rappelle pas pour garantir la confidentialité des protagonistes). Je faisais donc le minimum, je garantissais le 10 de moyenne (voire le 12 en cas de grande forme) dans cette matière qui me paraissait VRAIMENT inutile.
Quand il y a deux ans et demi j’ai commencé à le fréquenter, mon chéri ce grand sportif a essayé de me faire faire du sport. Et moi de me braquer « naaaan mais abusé le mec veut que je fasse du sport juste pour être plus mince vas-y les mecs tous les mêmes quoi » . Spoiler : il ne voulait pas me rendre plus mince, il voulait surtout me rendre plus heureuse. Mais ça je ne le savais pas encore. Je faisais donc deux trois squats par ci par là, j’allais courir de temps en temps, tout en pestant contre la vie qui ne m’avait pas donné un corps qui reste intacte quelque soit le nombre de pots de Nutella engloutis à la petite cuillère… Mais je n’avais pas de motivation.
Et il y a un an et demi, comme je vous l’expliquais dans cet article, j’ai vécu ce que j’ose maintenant appeler un traumatisme, qui a été suivi d’une espèce de dépression/syndrome de stress post traumatique mal identifié mais pas moins douloureux. En un mois je suis devenue profondément déprimée : le sentiment que plus rien de bon n’arrivera, que la vie est triste, que je ne suis pas assez bien, la culpabilité, la perte d’énergie, perte d’envie, et extrêmement angoissée : crises d’angoisses, ruminations terribles et permanentes, angoisses existentielles… Bref, un état assez paralysant. J’ai paradoxalement très bien continué mes études, je ne ratais pas les cours, j’ai même très bien réussi mes exams (je me demande encore comment j’ai fait). J’étais plutôt paralysée au niveau de mes émotions, je ne ressentais plus grand chose à part de la tristesse et de l’angoisse… Et il se trouve que cette année là je m’étais inscrite dans une salle de sport un peu par hasard. Mon chéri m’a aidée à ébaucher une espèce de programme sportif à raison de 3 séances par semaine, chaque séance visant à travailler une partie du corps.
J’ai donc commencé à aller à la salle, et je me suis rendu compte petit à petit que la salle de sport était un des rares endroits où je me sentais bien, et où j’arrivais à faire taire mes angoisses quelques instants. À l’époque j’utilisais les machines de musculation, et je me concentrais uniquement sur le travail de mon muscle, je sentais mon muscle se contracter, et cette agréable douleur (les sportifs sauront ce que j’entends par « agréable douleur ») et le fait de se concentrer sur quelque chose m’aidait à faire taire le vacarme de ma tête. Je parle de vacarme oui, parce quiconque est de nature angoissée sait ce que cela fait d’avoir des ruminations et de ne pas parvenir à se concentrer sur autre chose que le sujet de nos angoisses… Je suis donc allée de plus en plus régulièrement à la salle, parce que j’en avais besoin pour me sentir bien. J’en arrivais au point ou j’appréciais l’odeur de la salle (et ça faut le faire…) parce que je savais que cette ambiance me permettrait de me détendre un peu.
Au bout de quelques mois je me suis lassée des machines, et je me suis inscrite aux cours collectifs de ma salle pour 7€ de plus par mois, ce qui a donné un nouvel élan à ma motivation. J’ai tout testé: body combat, body attack, body balance, body sculpt, zumba, body pump, abdos-fessiers, caf, step… Et j’ai tout aimé, sauf la zumba et le step. Le fait d’avoir un prof de sport qui nous accompagne, le fait d’être en groupe, d’avoir de la musique pour se bouger m’a énormément plu. En plus, je n’avais plus besoin d’imaginer mes séances de sport à l’avance. J’ai découvert grâce à ces séances de sport le body balance, qui est un mélange de yoga, de danse, de Tai Chi, de pilates et de relaxation. Et ça a été une révélation. C’est maintenant mon rendez vous du lundi soir que je ne raterais pour rien au monde. Ce cours m’aide a me reconnecter à mon corps, à être en pleine conscience de ma force, de ma vitalité, de mes capacités, de ma volonté. Le Tai Chi est décrit comme de la relaxation en mouvement, ce sont des mouvements très lents qui ont pour but de travailler la posture. On y travaille aussi la profondeur de la respiration, l’équilibre, les appuis. C’est très intéressant à travailler et au bout d’un an et demi de pratique je vois de grands changements dans ma souplesse (eh oui, je touche par terre quand je me baisse mesdames!) et dans ma tonicité. On pense souvent aux muscles visibles : la barre d’abdos sur le ventre, les fesses galbées, les biceps bien gonflés, mais on ne prête pas assez attention aux muscles profonds, ceux qui améliorent notre posture, et peuvent diminuer nos douleurs (au dos par exemple). Ces muscles sont pourtant extrêmement importants.
Aujourd’hui le sport (et ce cours de body balance en particulier) m’aide à me sentir bien, et puissante. Ça parait bête, mais quand je suis en plein milieu d’un équilibre compliqué, j’apprends à recentrer mon énergie dans le centre de mon corps. quand je tiens une position difficile qui fait travailler les muscles, quand je sens mes abdos se contracter, mes jambes trembler sous l’effort, je me sens forte et puissante. Et de la à transformer ce sentiment de puissance et de force physique et force mentale il n’y a qu’un pas. Parce que le corps et l’esprit sont intimement liés ! Nous faisons bien des exercices de respiration pour nous détendre, pourquoi ne ferions nous pas des exercices de musculation ou de renforcement musculaire pour nous sentir forts et puissants? C’est important d’avoir conscience de cette force qui est la notre, cela nous donne confiance en nos capacités de réalisation, que ce sot pour réaliser des projets ou pour combattre la dépression ou l’anxiété.
Le sport quand il est fait avec passion et application nous reconnecte à notre « moi » profond et primitif, à notre enveloppe corporelle, et à notre besoin primaire de bouger et de se dépenser. Se reconnecter à cet aspect primitif de notre être est nécessaire de temps en temps !
Enfin, je n’en ai pas parlé, mais il y a aussi évidemment les hormones libérées pendant l’effort qui sont les hormones du bonheur, ce qui explique que l’on se sente si bien après une séance de sport.
Comment se mettre ou se remettre au sport?
C’est le problème de la majorité d’entre vous si j’en crois vos réponses à ma story Instagram. Mais je dirais que le plus important c’est déjà d’avoir l’envie de s’y mettre. Ensuite, il y a plusieurs raisons qui peuvent pousser à faire du sport qui sont plus ou moins efficaces.
Pour moi faire du sport uniquement pour maigrir n’est pas une raison assez profonde. je me rappelle très bien quand il y a quelques années une fille m’avait dit « nan mais si tu fais du sport juste pour maigrir tu ne vas jamais trouver une vraie motivation ». Ça m’avait vraiment énervée parce que cette fille était clairement hyper bien foutue, elle n’avait absolument pas besoin de maigrir (avec du recul je n’avais moi-même pas besoin de maigrir mais de me tonifier) et je me disais que c’était vraiment facile de sa part de dire ça. Mais elle avait tellement raison! Je pense que pour se mettre au sport il faut avoir un désir plus profond, un désir de transformation non seulement corporel mais surtout psychologique. Partir faire du sport pour maigrir revient à dire « je n’aime pas mon corps actuellement alors je vais aller suer pendant quelques mois pour retrouver un corps que j’aime ». Mais je suis persuadée que pour faire travailler et progresser son corps il faut porter d’ores et déjà sur lui un regard bienveillant. Le sport ne doit pas être une punition, un moyen de se débarrasser de ce corps encombrant pour le remplacer par un autre, mais un soin plein d’amour pour ce corps qui est le nôtre et qui restera le nôtre quelque soit son apparence.
Ce qui m’amène à la raison qui selon moi peut faire naitre la motivation la plus solide. Faire du sport pour prendre soin de soi, pour soigner notre corps et notre âme. Quelle plus grande motivation que ce fameux #selfcare ? Il faut d’abord avoir cette prise de conscience que notre corps est fait pour bouger, pour se dépenser, pour être nomade. Les villes, les voitures, les systèmes de livraison, le travail de bureau nous poussent à rester assis. Nous avons presque oublié qu’il y a 150 ans la voiture n’existait pas et que notre moyen de locomotion de prédilection était la marche ! Pas la trottinette électrique! En 150 ans nos corps ne se sont pas adaptés à cette sédentarité. Nous avons encore besoin de bouger ! Faire du sport c’est donner à son corps ce dont il a besoin, et c’est aussi soigner notre esprit pour toutes les raisons dont je vous parlais plus haut. Faites vous du bien, faites du sport !!
Mes 8 astuces motivation
- Trouvez le sport qui vous plait, celui dans lequel vous avez envie de progresser, celui dans lequel vous vous sentez bien. Trop longtemps j’ai associé le sport au fait de courir alors que je DETESTE courir ! Ce n’est tout simplement pas mon sport. Et je pense que nous sommes assez nombreux à associer le sport à la course à pied et à nous dégouter du sport à cause de ça. Il existe pourtant une telle diversité de sport ! En équipe, en salle, en cours, la muscu, les machines, le yoga, la danse… Explorez et trouvez ce qui VOUS fait vibrer.
- Simplifiez vous la vie. Faites du sport à côté de chez vous, faites quelque chose qui ne vous demande pas trop d’organisation. Ne prenez pas la décision d’aller à la piscine deux fois par semaine si celle ci est à 30 minutes de chez vous… Enfin à part si vous êtes certaines de votre détermination ! Mais pour avoir testé la piscine, même à 15 minutes de chez moi et 1 fois par semaine je n’ai pas tenu ! Faites au plus simple, pour que vous n’ayez à vous motiver que pour le sport, et pas pour le trajet !
- Fixez des objectifs atteignables mais ambitieux, cela vous donnera d’autant plus de motivation ! Ne vous fixez pas des objectifs de kilos en moins (déjà le poids n’est qu’un chiffre, et le muscle étant plus lourd que la graisse… c’est un très très très mauvais indicateur) ou de taille de pantalon. Fixez vous des objectifs de souplesse, de vitesse, de performance, d’endurance, de nombre d’abdos… c’est beaucoup plus motivant! Gagner plutôt que perdre, plus sexy non?
- Achetez une jolie tenue de sport et des brassières de sport. Ça parait bête et superficiel mais franchement, une fois que l’on a investi 30 euros dans une jolie tenue on a envie de la rentabiliser, et c’est important de se sentir belle et bien dans sa peau quand on fait du sport. Encore une fois avoir regard bienveillant sur soi nous aide à être plus performant.
- Fixez des rendez vous hebdomadaires sportifs dans votre agenda, planifiez vos séances de sport pour ne pas les repousser. Si on vous dit « oh viens boire un verre en terrasse lundi soir à 19h30 » et que votre cours de body balance est à 19h45, dites « je suis désolée mais ce soir la je dois voir un vieil ami qui a besoin de moi, mais je vous rejoins après ». Eh oui, le vieil ami c’est bien votre corps! Il a besoin de vos soins et de votre attention ! Bon vous imaginez bien que c’est plus facile à dire qu’à faire, mais c’est une discipline, une rigueur, qui s’apprend. C’est une habitude qui se prend.
- Si vous avez un ou une ami(e) très sportif, demandez lui de vous motiver et de ne pas vous lâcher. Faites du sport ensemble ! Personnellement c’est aussi grâce à Adrien qui me demande régulièrement si je suis allée au sport que je trouve parfois les petits bouts de motivation qui me manquent.
- Accompagnez votre routine de sport d’un mode de vie sain. Ne faites pas suivre votre séance de sport d’un Macdo… C’est ultra démotivant de faire ça parce que c’est balayer d’un revers de nugget tout les efforts que l’on vient de faire. Mangez des fruits et des légumes, mangez équilibré, montez les escaliers, marchez. Faire 3 séances de sport par semaine et manger n’importe comment le reste du temps n’a aucun sens, ce n’est pas logique pour le corps (ni pour l’esprit!). Bien manger c’est aussi prendre soin de son corps. Attention je ne vous parle pas de manger trois bouts de concombres le midi et une tomate le soir, ni de faire un régime (les régimes c’est la pire invention de la terre), mais bien de manger équilibré: des légumes, des féculents, de la viande et du poisson (ou pas!), du bon gras… Et c’est pas grave de craquer de temps en temps, ou même un peu trop souvent! L’important c’est d’avoir conscience de ce que l’on mange et de l’effet que cela a sur notre corps. Si vous mangez votre Macdo ou si vous buvez votre bouteille de Coca en étant conscient des effets que cela a sur le corps, je vous assure que vous serez bien moins tentés de craquer les prochaines fois. Et soit dit en passant pour le Macdo: mes trois premières années d’études, je mangeais un Macdo par semaine… Jusqu’à ce que je vois quelqu’un trouver une blatte dans son wrap. Je n’en ai plus JAMAIS mangé. Enfin si, juste une fois. Bref je m’égare.
- Ecoutez vous. Nous les femmes dépendons de notre cycle qui, si nous ne sommes pas sous pilule, influence considérablement notre humeur et notre énergie. Si vous êtes attentives vous verrez que vers la période de l’ovulation nous avons un immense regain d’énergie, et vers les règles nous avons plus besoin de cocooner. Il faut écouter ces besoins, pour être indulgente envers soi-même. Si vous êtes trop fatiguée, malade, ce n’est pas grave de louper une séance de sport. L’important c’est que ça reste occasionnel. Je vous mets ce petit schéma qui récapitule toutes ces phases liées au cycle. Je n’aime pas du tout l’appellation « phase sorcière » qui n’est pas du tout adaptée et correcte mais je trouve que pour le reste c’est plutôt juste. Bien sur c’est à adapter à chaque femme.
Cliquez ici pour la source du schéma et + d’explications:
Vos questions:
Comment savoir quels exercices faire ?
Eh bien ça dépend de ce que tu veux travailler ! Ce qui est intéressant c’est de travailler tout le corps (oui, les bras et les pectoraux aussi) pour avoir une tonicité globale. Si tu participes à des cours collectifs c’est facile, il suffit de choisir le cours que tu veux et en général les cours sont assez bien faits pour que le travail musculaire soit plutôt global. Si tu fais des exercices à la maison, je te conseille pour chaque séance de travailler une zone en particulier (fesses, cuisses, bras, dos…) ET les abdos profonds. Je trouve ça important de travailler à chaque fois ce qu’on appelle en anglais le « core » c’est à dire les muscles profonds du buste et de la taille.
Si tu ne sais pas comment faire tes exercices, Youtube est une mine d’or ! Notamment les chaines de Justine Gallice, et Sissy Mua sur lesquelles je trouve des HIIT. Un HIIT c’est quoi? Ça veut dire High Intensity Interval Training. C’est un entrainement qui dure entre 15 et 40 minutes, très intense, composé d’une alternance de mouvements et de temps de repos. Ces exercices ont l’avantage d’être très courts et très efficaces ! C’est super quand vous n’avez pas beaucoup de temps.
Comment faire du sport chez soi?
Je fais du sport chez moi parce que j’ai a chance d’habiter au premier étage et d’avoir une boutique sous ma chambre. Alors quand je fais mes squats sautés à 19h le soir, je ne dérange personne en dessous… Même si ma chambre n’est pas très grande (elle doit faire 10 m2 carrés avec un lit double qui prend une certaine place, il me suffit de pousser le lit, de mettre mon tapis par terre et ça suffit! Si vous avez peur de déranger vos voisins vous pouvez faire du yoga ou des exercices sans sauts. Si vous cherchez « hiit sans saut » ou « hiit sans impact » vous trouverez des exercices sans saut (il y en a beaucoup pour les personnes qui recherchent à préserver leurs genoux par exemple ou pour les femmes enceintes).
Que manger le soir après une séance ?
Je ne prétends pas du tout du tout être diététicienne et donner des conseils avisés. Moi je n’ai pas de règle niveau alimentation, je m’écoute, en général j’essaie (j’ai bien dit j’essaie) de ne pas trop manger de féculents le soir. J’aime bien manger une grande salade verte puis un peu de fromage, un petit dessert (je suis incapable de terminer un repas sans une touche sucrée)… Donc rien de bien précis.
Comment surmonter la douleur?
Alors cette question me laisse un peu perplexe parce que je ne sais pas trop comment y répondre… En fait cette douleur ne me dérange pas. Attention, je parle bien des courbatures et autres douleurs liées à l’effort, par des blessures ou des douleurs ligamentaires ! Il faut savoir distinguer les deux car certaines douleurs sont le signe que l’on a trop forcé (au niveau des articulations notamment). Pour en revenir à la douleur musculaire pendant l’effort, je l’apprécie parce qu’elle est le signe que mon corps travaille, c’est presque satisfaisant, et elle ne dure jamais bien longtemps. Et j’apprécie aussi la douleur des courbatures, elles me permettent de sentir certains muscles dont j’ignorais parfois l’existence. Je trouve ça rigolo d’avoir des courbatures en fait. Vous devez me prendre pour une folle…
Comment as tu choisi ta salle de sport?
Très simplement… j’ai pris celle qui était à la fois la moins chère et la plus proche de chez moi ! Il est important d’avoir une salle de sport très proche de chez soi pour une question de motivation. C’est beaucoup plus facile de se motiver quand on sait qu’on n’aura pas à faire 30 minutes de trajet, et ça permet de gagner du temps de trajet qui nous permet de faire une séance plus longue! En terme de prix, je conseille vraiment les salles Neoness qui coutent à Paris 28 euros par mois + 5 euros par mois si vous prenez la formule incluant les cours collectifs. À ce prix là vous avez accès à toutes les machines de muscu et de cardio, aux cours collectifs mais vous ne pouvez pas prendre de douche sur place et vous devez venir avec votre serviette et votre cadenas pour le vestiaire. Franchement ça me convient très bien, je prends ma douche chez moi et ça ne va pas me tuer de transporter une serviette !